samedi 23 mars 2013
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le blog de favide: Chrome Maze transforme une page Web en un labyrint...: (Paris - Relax news) - Les laboratoires de Google présentent une nouveauté spectaculaire, uniquement disponible sous Chrome, perme...
Chrome Maze transforme une page Web en un labyrinthe 3D
(Paris - Relax news) - Les laboratoires de Google présentent une nouveauté spectaculaire, uniquement disponible sous Chrome, permettant aux internautes de déambulant dans d'étranges labyrinthes en 3D générés depuis n'importe quelle page Web, le smartphone faisant alors office de manette de jeu.
Pour pouvoir profiter de cet étonnant divertissement, il faut disposer du navigateur Chrome à la fois sur son ordinateur et sur son smartphone. Une fois les deux synchronisés et connectés sur http://chrome.com/maze/, il devient possible de "jouer" avec l'interface de n'importe quel site Web, plus ou moins complexe.
Cette démonstration utilise la technologie WebGL qui déstructure les différents composants d'un site pour en faire un univers en 3D. Au joueur de naviguer dedans à l'aide de son smartphone (ou de son clavier).
Découvrir Chrome Maze en vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=7AvTl9aU5D8&feature=youtu.be
Tester Chrome Maze (sous Chrome uniquement) : http://chrome.com/maze/
lundi 18 mars 2013
le CANCER, un mal fatal?
Aujourd’hui j’ai bien
voulu en savoir plus sur le CANCER, cette terrible maladie qui semble méconnue
du grand public, mais qui continue de faire des ravage.
Lorsqu’un docteur annonce
à son patient qu’il est atteint d’un cancer, les deux(2) questions que les
patients posent en premier à leur docteur sont les suivantes :
-
Docteur
comment cela est-il possible ?
-
Docteur dite moi sincèrement combien de temps me
reste-il à vivre ?
Elle est exorbitante
la liste des personnalités qui ont été victime du cancer et qui n’on pu s’en
sortir « », donc imaginer celle des personnes ordinaires qui
n’on pas pu échapper aux griffes de cette maladie.
Cependant certaines personnes on réussi à lui résister au point même de le vaincre, et ils
ont tous appeler cette victoire contre le cancer le MIRACLE DE DIEU. Alors je
vous propose le résumé de mes recherches et quelques témoignages sur le CANCER.
QU’ES QUE LE
CANCER ?
Le cancer est
une maladie
caractérisée par une prolifération cellulaire anormalement importante au
sein d'un tissu normal
de l'organisme, de telle manière que la survie de
ce dernier est menacée. Ces cellules dérivent
toutes d'un même clone, cellule
initiatrice du cancer qui a acquis certaines caractéristiques lui permettant de
se diviser indéfiniment. Au cours de
l'évolution de la maladie, certaines cellules peuvent migrer de leur lieu de
production et former des métastases. Pour ces
deux raisons, le dépistage du
cancer doit être le plus précoce possible.
« Cancer »
est un terme général désignant une maladie pour lesquelles certaines cellules d'un organisme adoptent un comportement anormal caractérisé par :
·
une
indépendance vis-à-vis des signaux qui stimulent normalement la prolifération
cellulaire ;
·
une
insensibilité aux signaux et mécanismes antiprolifératifs ;
·
une capacité
proliférative qui n'est plus limitée (croissance à l'infini) ;
et l'acquisition d'un pouvoir
invasif et de production de métastases.
EXPLICATION EN IMAGE
(une image vaut mieux que mille écritures)
Quand des cellules normales sont
endommagées et qu'elles ne peuvent pas être soignées, elles meurent :
c'est l'apoptose. Les cellules cancéreuses ne meurent pas
et continuent de se développer.
LE CANCER, QUELS SONT
LES FACTEUR ?
Les facteurs
de risques sont internes (génome, mutation5, etc.),
induction par un agent infectieux, etc. et/ou
externes (alimentation, exposition
à des substances cancérigènes ou à
des conditions telles que l'irradiation, etc.).
Des facteurs hormonaux,
épigénétiques et psychosomatiques sont possibles. 90 à 95 % des cas de cancers ne sont pas
attribuables à des mutations génétiques6.
Durant la dernière décennie, plusieurs
types de cancers semblent en augmentation, si dans certains cas cette
progression est facilement liée à des facteurs de risque identifiés (tabac,
alcool, polluants industriels reconnus cancérigènes, obésité, sédentarité,
exposition au soleil) dans certains cas il est difficile d'attribuer à des facteurs
précis l'augmentation observée. L'amélioration des outils de diagnostic7 et le
vieillissement de la population8 expliquent
une part importante de la progression de l'incidence de certains cancers. À
l'inverse une étude de l'Institut de veille sanitaire montre que les cancers de l'estomac, de
l'oesophage (chez l'homme), du col de l'utérus et le lymphome Hodghinien ont
régressé entre 1980 et 2000.
LES DIFFERENTS TYPES
DE CANCER.
Il existe
généralement :
·
les carcinomes :
cancer d'un épithélium,
c'est-à-dire une surface composée uniquement de cellules ;
Il existe un
classement selon les organes touchés, par exemple :
Il existe
presque autant de sources de cancer que de tissus dans l'organisme. Certains
sont toutefois plus fréquents que d'autres.
TAUX DE SURVIE ET SURMORTALITE
Le taux de survie dépend aussi de l'âge. Cinq ans après le diagnostic,
70 % des 15–45 ans survivent. Alors que seuls 39,4 % des malades
cancéreux âgés de 75 ans survivront plus de 5 ans ; sachant qu'étant donné
le risque de métastases, on ne parle pas de guérison pour un cancer, mais de
rémission. En France et au Canada, le cancer est la première cause de mortalité
chez les plus de 65 ans.
Quelques témoignages positifs et
négatifs
Je n'ai plus la
force de lutter contre mon cancer
Vivre ou mourir ? C'est une question que je me pose quasiment depuis
toujours. Je me bats contre l'accumulation de souffrances et d'obstacles. Je
lutte pour sortir la tête de l'eau et dès que je semble, ne serait-ce qu'un
instant, pouvoir reprendre mon souffle, je dois affronter quelque chose
d'encore plus douloureux et difficile. C'est comme cela depuis toujours. J'ai
le sentiment que la vie s'amuse à tester mon seuil de tolérance à la douleur.
Mais la fatigue s'accumule ! Je suis fatiguée de me battre pour affronter le
pire à nouveau.
À trente ans, j'ai dû regarder mon fils de six ans lutter pour sa vie. Il s'est accroché et s'en est sorti. Deux mois plus tard, c'était à mon tour d'affronter un cancer du colon bourgeonnant avec métastase. Foudroyant ! A l'époque, j'étais fatiguée de vivre et j'étais déjà morte depuis bien longtemps intérieurement, seul mon corps survivait. Mais je ne sais trop comment, j'ai réussi à me battre et j'ai surpris ceux qui me croyaient perdue.
Alors, je me suis dit que même Dieu estimerait que j'avais payé mes dettes. Après tout, j'avais mérité mon bonheur, enfin ! J'ai vécu sereinement pendant un an. J'ai cru au bonheur retrouvé. Puis j'ai rechuté. La douleur que j'ai ressentie n'était rien par rapport à celle de mon premier cancer mais à la douleur physique s'est ajoutée la douleur morale. Celle qui ne se soigne pas. Elle est partie de mon cœur, et a parcouru mon corps en une longue et saignante déchirure. Ma tête explose, et je n'y peux rien.
J'ai donc décidé de ne pas soigner ce cancer. Même l'amour de mon fils qui me tenait jusque-là n'y peut rien. Je suis épuisée. Mais n'est-ce pas injuste que mon fils soit orphelin à treize ans ? Après tout, chacun son destin et la vie n'est pas tendre. Le fait qu'il soit seul ne me paraît plus si dramatique. Seuls les plus forts s'en sortent, et s'il est fort, il survivra. S'il ne l'est pas, il fera comme tant d'autres : il luttera vainement pour finalement se laisser aller un jour, lui aussi. Je suis consciente qu'il est grave d'en arriver à penser comme cela. J'ai de la peine, mais c'est la vie. De toute façon, il trouvera son chemin, avec ou sans moi. Il devra comprendre qu'il y a des douleurs qui vous rongent, et qui finissent lentement par vous mettre à genou.
Je ne suis pas suicidaire, mais je me suis déjà trop battue, et sais que je ne suis qu'à moitié en vie. Je crois que je suis un peu comme un personnage de jeu vidéo qui tue des monstres sans arrêt en tombant toujours sur des plus forts. C'est sans fin. Je crois que je suis "game over". Je souhaite que mon fils fasse de meilleurs choix de vie, qu'il rompe avec ce fil maudit qui nous suit et nous gâche la vie. Car s'il le fait, il sera heureux.
À trente ans, j'ai dû regarder mon fils de six ans lutter pour sa vie. Il s'est accroché et s'en est sorti. Deux mois plus tard, c'était à mon tour d'affronter un cancer du colon bourgeonnant avec métastase. Foudroyant ! A l'époque, j'étais fatiguée de vivre et j'étais déjà morte depuis bien longtemps intérieurement, seul mon corps survivait. Mais je ne sais trop comment, j'ai réussi à me battre et j'ai surpris ceux qui me croyaient perdue.
Alors, je me suis dit que même Dieu estimerait que j'avais payé mes dettes. Après tout, j'avais mérité mon bonheur, enfin ! J'ai vécu sereinement pendant un an. J'ai cru au bonheur retrouvé. Puis j'ai rechuté. La douleur que j'ai ressentie n'était rien par rapport à celle de mon premier cancer mais à la douleur physique s'est ajoutée la douleur morale. Celle qui ne se soigne pas. Elle est partie de mon cœur, et a parcouru mon corps en une longue et saignante déchirure. Ma tête explose, et je n'y peux rien.
J'ai donc décidé de ne pas soigner ce cancer. Même l'amour de mon fils qui me tenait jusque-là n'y peut rien. Je suis épuisée. Mais n'est-ce pas injuste que mon fils soit orphelin à treize ans ? Après tout, chacun son destin et la vie n'est pas tendre. Le fait qu'il soit seul ne me paraît plus si dramatique. Seuls les plus forts s'en sortent, et s'il est fort, il survivra. S'il ne l'est pas, il fera comme tant d'autres : il luttera vainement pour finalement se laisser aller un jour, lui aussi. Je suis consciente qu'il est grave d'en arriver à penser comme cela. J'ai de la peine, mais c'est la vie. De toute façon, il trouvera son chemin, avec ou sans moi. Il devra comprendre qu'il y a des douleurs qui vous rongent, et qui finissent lentement par vous mettre à genou.
Je ne suis pas suicidaire, mais je me suis déjà trop battue, et sais que je ne suis qu'à moitié en vie. Je crois que je suis un peu comme un personnage de jeu vidéo qui tue des monstres sans arrêt en tombant toujours sur des plus forts. C'est sans fin. Je crois que je suis "game over". Je souhaite que mon fils fasse de meilleurs choix de vie, qu'il rompe avec ce fil maudit qui nous suit et nous gâche la vie. Car s'il le fait, il sera heureux.
taline2207, 38ans
Cancer du sein … la vie
après... témoignage positif ! !
voilà
je souhaite mettre de l'espoir dans tous les coeurs de celles qui sont dans le
tourbillon de ce p.... de cancer du sein (et oui je ne peux pas l'appeler
autrement !) il est arrivé en avril 2005, j'avais 37 ans ! ablation totale du
sein droit mais une chance (si je peux dire ...) pas de chimio ! bref,
reconstruction mamelon, alvéole enfin une espèce de truc qui ressemble à un
sein ! dépression depuis qui ne me quitte plus car voilà le truc s'est que tout
le monde me voit gaie, bien dans ma beau, jolie toujours "bien mise"
bref une belle femme de 42 ans maintenant ! tu parles ! il n'y a pas un jour où
je ne pleure pas, où je ne prends pas de trucs pour dormir car la nuit je pense
que ma vie de femme est foutue on a beau me dire mais non tu peux trouver des
hommes tu es belle etc... tu parles, je me déshabille il fuit et je le
comprendrai. Je suis mariée mais bon il m'arrive parfois de penser à d'autres
mais ... est un autre sujet... mon mari l'accepte mais je vois bien qu'il ne me
touche plus le ou les seins ! et je suis ommnibulée par le fait qu'il puisse me
tromper et je le comprendrai presque... mais le côté positif et le miracle
c'est que je suis ENCEINTE ! ! ! un miracle de la vie et ça, ça vaut tous les
seins du monde ! ! !
Courage et on peut vaincre ... cette chose et nous rendre plus forte.
Courage et on peut vaincre ... cette chose et nous rendre plus forte.
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